Quelle tristesse, Solomon Burke est mort et on ne sait pas encore de quoi. Il laisse derrière lui 21 enfants, 90 petits-enfants et des milliers, des milliers d'héritiers de sa voix fabuleuse. Malgré son style impensable – il chantait assis sur un trône – et un tube planétaire – Everybody Need Somebody To Love qu'on lui a littéralement piqué –, il n'aura jamais eu de vraie reconnaissance mondiale. Un éternel outsider, mais qui encore en début d'année nous sortait Nothing's Impossible, un disque old school émotionnellement renversant. La nouvelle de son décès me désole et j'espère qu'en partageant ces quelques chansons, vous comprendrez pourquoi.
ETHIQUE ET TICS
Bien conscients des difficultés économiques que rencontre l'industrie musicale, les rédacteurs de DCDL encouragent leurs lecteurs à acheter les albums ou titres ici présentés. FUCK OFF LA MORALINE, FAITES VOUS PLAISIR SUR INTERNET
AMIS BLOGGERS
ARCHIVES
-
▼
2010
(201)
-
▼
octobre
(18)
- Belle and Sebastian | Write About Love
- Ça se passe samedi soir, sous l'égide d'un semi-...
- DCDL XXXV, décors paranormaux de Rachels Evans
- Je suis vivant, mais je lol
- Mar de Grises | Streams Inwards
- Motion Sickness of Time Travel
- News en vrac
- DCDL XXXIV, le troublant témoignage de Paul Martin
- Playlist Hannah
- Boom Bap
- Sufjan Stevens | The Age of Adz
- Effet de cohérence
- Je sais bien mais quand même
- King of Rock n' Soul
- Jérôme Kerviel : 4,9 milliards de dommages et inté...
- Galaxie Hadopi
- Dungen | Skit I Allt
- Samedi 2 octobre au matin.
-
▼
octobre
(18)
0 commentaires:
Enregistrer un commentaire